Street Art – Graphisme

Biographie

42.5 est né de la passion commune de deux artistes, Orelone et Bonk, pour la typographie et l’illustration.
Leur envie est de promouvoir un langage artistique qui s’exprime dans la culture populaire.
« L’art partout et et pour tous » est le leitmotiv de leur travail.
Ils ont notamment réalisé des projets collaboratifs avec des habitants, des structures culturelles et des collectivités territoriales.

La création en images

Les membres

Orelone

Street art - Graphisme

Orel RUYS découvre le graffiti en 2005 et fais ses premières armes, ses premières ébauches, ses premiers tracés… Ce qui lui vaut alors quelques déconvenues car il exerce fréquemment « ses talents » dans des lieux publics.
De là naît sa vocation et son amour de la typographie et du graphisme, qui guidera naturellement son parcours scolaire vers un master en arts graphiques.
Le travail des formes et des couleurs fait partie inhérente de son univers afin de lui donner vie. Que ce soit à partir d’un brief à fortes contraintes ou d’un projet avec une totale liberté, la typographie est le point de départ et le centre des réflexions de son travail.

Bonk

Street Art - Illustration

Originaire de Montreuil, Bonk est un artiste autodidacte qui puise son inspiration dans la culture populaire dans laquelle il a baigné depuis son enfance.
Inspiré d’éléments visuels capables de toucher tout le monde, il tend à orienter ses œuvres vers un art loin des références académique mais universel, presque une forme de militantisme.
Tout commence par un accident de parcours ; après une carrière bien entamée dans la haute gastronomie à travailler comme cuisinier dans de nombreux restaurants étoilés, il se tourne vers une de ses premières passions, le dessin. Il se jette alors dans le bain de l’art avec un grand A.
En tant qu’autodidacte du dessin, il ne possède pas les codes de ce nouveau milieu, et s’en voit régulièrement refuser l’accès. Il prend donc pour base sa culture, et la reflète sur tous les supports qui lui passent sous la main ; de sa première toile à différents matériaux (meuble, planches, cadres..) qu’il pourrait trouver dans la rue.
Il aime essaimer dans la ville les portraits d’artistes et activistes qui l’auront marqué : en offrant le visage éclairé de Maya Angelou ou de Nelson Mandela aux passants ou visiteurs. Il n’offre pas seulement un mur rehaussé de couleur, il nous invite à remettre en question notre culture et notre histoire.